Les trois vitraux du cloître de l’aube
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Le cercle burinéLa quatrième année, au assembler par 24h affecté, la clarté transperça le vitrail d’ambre. Contrairement aux éclats tranchants des motifs précédentes, celle-ci baignait la nef dans une authenticité lâche, presque palpable. Le cercle modelé au sol brillait d’une puissance douce, comme un milieu ancestral rallumé postérieur des siècles d’extinction. La médium, agenouillée amenées à le lueur or, sentit une chaleur lier en elle, différente des sentiments antérieures. Il n’y avait ni tension, ni bascule. Il y avait présence. L’image qui se forma fut première à inclure une multitude de personnes. Elles étaient rassemblées à proximité d’une table ronde, sans visions, les main jointes sans se frotter. Leurs portraits, flous dans le halo doré, exprimaient une attente sereine, comme par exemple si chacun savait ce que l’autre allait favoriser. Au coeur de la table, un sablier renversé laissait couler des grains qui remontaient. 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